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Ce que nous demandons aux multinationales pour que leurs ganancias benéfica aux pays les plus pauvres

Eloise Todd|

Entre les Panama Papers, les Bahamas leaks, le procès Luxleaks et sa condamnation des lanceurs d'alertes, l'année 2016 aura eu son lot de crises et de révélations qui auront permis d'identifier encore un peu plus clairement l'ampleur des transaction secrètes, évasions et autres fraudes fiscales. Cette année aura dévoilé un peu plus nettement les rouages ​​d'un système délibérément conçu pour cacher les identités des propriétaires des empresas y pour faciliter l'évasion fiscale, blanchiment d'argent et autres formes de corrupción. La bonne nouvelle, c'est que grâce à ces révélations plus personne ne peut détourner le respect et prétendre qu'il ne savait pas. Mais surtout, plus personne ne peut prétendre qu'on n'a pas les solutions à notre disposition.

Si l'opacité qui règne dans ce système met en Péril nos démocraties, ses principales victimes sont les citoyens des pays les plus pauvres. De nombreux individus et entreprises internationales activeives dans des pays en développement ne payent pas le montant de leur impôt dû en fonction de leur activité. Les pays les plus pauvres ont pourtant a besoin criant de rentrées d'argent pour soutenir leur développement et fournir des services essentiels, notamment de santé et d'éducation, à su población. Quand on sait que chaque année plus mille milliards de dollars s'échappent des pays en développement à cause of ces flux financialrs illicites, the apparait clairement que l'augmentation des recettes fiscales est un enjeu vital pour ces pays et leurs poblaciones.   

Pour stopper cette hémorragie financière, il impératif de lutter contre l'opacité des systèmes financiers in imposant davantage de transparence aux multinationales et en donnant aux citoyens de véritables moyens de demander des comptes à leurs gouvernements. En 2016, des solutions concrètes sont sur la table, notamment au niveau européen. D'une part, le reporting pays par pays public, mesure qui demandde aux entreprises de divulguer publiquement des informations financières simple, comme leur chiffre d'affaires, le name d'employés et les impôts qu'elles payent, et ce dans chaque pays où elles opèrent. D'autre part, la publicación de información sobre los bénéficiaires effectifs des sociétés et des trusts, y particulièrement des sociétés écrans permettant de cacher des activités illégales.

Afin de rendre le pouvoir aux citoyens, ces informations doivent être accessibles à tous, dans a format lisible et utilisable. Ces données permettraient aux autorités des pays en développement mais aussi aux citoyens, aux journalistes et à la société civile d'identifier des cas de fraude fiscale dans ces pays, y de récupérer des recettes cruciales à la lutte contre l'extrême pauvreté. Dans de nombreux pays in Afrique, la publicación de certaines données jusque-là confidenciales un aviso permitido aux citoyens d'utiliser ces informations fiscales pour faire pression sur leur gouvernement, afin d'accroître les rsources resources for the services publics and d'améliorer tangiblement la vie des poblaciones locales.

La transparence des multinationales permettrait non seulement d'exercer un effet dissuasif sur la corrupt, l'évasion fiscale et le blanchiment d'argent, mais aussi de renforcer la participación citoyenne et de défendre nos démocraties, qui en ont besoin aujourd'hui plus que jamais.

Cela, la communauté internationale l'a bien compress, et c'est peut-être la raison pour laquelle 2016 aura également été l'année des Initiative et des sommets internationaux, réunissant société civile, partenaires du secteur privé et gouvernements. En mai, le sommet Anticorrupción en Londres avait ouvert la voie à una agenda mondial de transparence, et vu les pays s'engager à mettre fin à la corrupción, au blanchiment d'argent et aux flux financistas ilícitos. Ce mois-ci à Paris, más 70 gouvernements et des centaines de représentants du secteur privé et de la société civile se réunissent pour travailler ensemble à davantage de transparencia, des gouvernements plus ouverts et une participación citoyenne accrue. Le sommet du Partenariat pour un gouvernement ouvert sera l'occasion pour tous ces acteurs de changements de dialoguer et d'avancer ensemble, pour que 2016 soit aussi l'année des engagement ambitieux, et préparer une année 2017 qui offrira des oportunités concrètes, et notamment législatives en Europe, d'avancer vers un monde plus transparent et plus démocratique.

La transparencia de las multinacionales, el clérigo verificable para el acceso a la corrupción y las actividades fiscales ilícitas y el acceso a los pagos, además de pauvres de pourvoir aux besoins de ses citoyens, sera mise à l'honneur au sommet de Paris du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert lors d'une table ronde de haut niveau, intitulée « Siga el dinero: poner fin al secreto corporativo a través de la transparencia », Le vendredi 9 décembre, journal mondiale de lutte contra la corrupción.

 

Cet artículo fait partie d'une série organisée par Le Huffington Post et le Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (Open Government Partnership) en la ocasión del Sommet Mondial 2016 de PGO en París. Le Partenariat pour un Gouvernement Ouvert es una coalición internacional compuesta de plus de 70 gouvernements et de milliers d'organisations de la société civile tous participagés à faire progreser l'agenda du gouvernement ouvert. Cette série cherche à souligner quelques-uns des enjeux clés. Para obtener más información sobre el PGO, veuillez visiter http://www.opengovpartnership.org, #OGP16, anticorrupción

 
Open Government Partnership