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Rapport à mi-parcours pour la Nouvelle-Zélande 2016-2018

Le deuxième plan d'action national de la Nouvelle-Zélande traitait de problèmes allant de l'accès à l'information, à la transparence budgétaire et à la participation citoyenne. Bien que le gouvernement ait pris des mesures importantes pour améliorer l'accès à la législation, à mi-parcours de la mise en œuvre du plan, près de la moitié des engagements énumérés avaient été menés à bien dans la première année. À l'avenir, il est important que le gouvernement néo-zélandais inclue des réformes significatives dans des domaines tels que la protection des lanceurs d'alerte, la loi sur l'information officielle et l'éducation des citoyens.

POINTS FORTS

Engagement Vue d’ensemble Bien-

Conçu? *

1. Budget ouvert Cet engagement permettra de mieux connaître le processus budgétaire et fournira des informations sur l'accès aux documents pendant la phase d'élaboration du budget pour les groupes externes. Il s'agit d'un pas en avant significatif en termes de présentation du budget et d'élargissement de l'engagement au sein d'une cohorte plus large. Non
✪ 6. Améliorer l'accès à la législation

 

Cet engagement étendra la portée des documents gouvernementaux publiés à ceux rédigés par des ministères, des entités de la Couronne et des organes statutaires en vertu du pouvoir de légiférer délégué du Parlement et par d'autres organismes non gouvernementaux. Oui

* L'engagement est évalué par l'IRM comme spécifique, pertinent et a un impact potentiel de transformation

✪ L'engagement est évalué par l'IRM comme étant spécifique, pertinent, potentiellement transformateur et mis en œuvre de manière substantielle ou complète.

Processus

En avril 2016, le délai de finalisation du deuxième plan d'action de la Nouvelle-Zélande a été prolongé et la SSC a sollicité les commentaires du public sur la proposition sur son site Web.1 Après un premier atelier 2016 en juin pour explorer les engagements possibles avec la société civile, un préavis a été donné à 2 le public à travers de nombreux canaux de consultation. Les consultations ont eu lieu pendant un mois avec les parties prenantes de la société civile et du secteur privé et se sont terminées par un atelier de co-création réunissant des représentants du gouvernement et de la société civile. Le CSD a invité le groupe consultatif d'experts (EAP) et le groupe des officiels, puis a finalisé le plan sans la participation du public.

Performance

Le deuxième plan d'action de la Nouvelle-Zélande comprenait sept engagements, dont cinq provenaient des soumissions 87 OGP du public et deux du gouvernement. La conformité à la loi sur l'information officielle, la participation du public à l'élaboration des politiques et l'amélioration de l'accès aux données ouvertes étaient les thèmes les plus importants. Un seul des sept engagements a été jugé susceptible d'avoir un impact transformateur sur l'ouverture du gouvernement.

Recommandations IRM

1. Élargir le groupe consultatif d'experts pour inclure une plus grande représentation de la société civile
2. Réformer les lois sur l'information officielle et recentrer le programme sur les données et l'information ouvertes afin de publier des données sur les dépenses sociales, environnementales et budgétaires
3. Élaborer des normes pour la consultation publique sur les initiatives politiques
4. Inclure des engagements anti-corruption dans le prochain plan d'action, couvrant la protection des lanceurs d'alerte et un registre public des bénéficiaires effectifs de l'entreprise
5. Introduire l'éducation à la citoyenneté pour augmenter la participation démocratique

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