Sept pays OGP prenant la parole devant l'assemblée
Siete países de OGP que están trabajando en mejorar la libertad de asamblea
Sept pays du PGO régissent les réunions
Leçons des réformateurs
Cette étude de cas a été initialement publiée dans le Rapport global de l'OGP.
Le Centre européen pour le droit des associations à but non lucratif (ECNL), un projet innovant sur la liberté de réunionLa réunion pacifique — un droit humain fondamental — est essentielle à des institutions démocratiques saines et efficaces. Spécifications techniques : Protection du droit individuel de réunion pacifique, ... Plus, a évalué sept pays OGP d'Europe centrale et orientale pour la législation et les pratiques pertinentes entre 2017 et 2019. (Il y avait également deux pays non-OGP inclus dans l'évaluation.) Beaucoup de ces pays OGP ont des cadres juridiques solides, mais font face à des défis de mise en œuvre autour contrôle des événements et manque de processus normalisés entre les autorités, en particulier au niveau local.
- Albanie: Le cadre juridique du pays protège le montage. Néanmoins, dans la pratique, l'Albanie peut encore être améliorée. Il n'est pas clair si les organisateurs ont besoin d'une notification ou d'une autorisation pour manifester. De facto, cela limite les rassemblements spontanés et crée un manque de coordination avec la police. Les organisateurs ont été condamnés à une amende pour absence d'autorisation. Un processus d'autorisation plus normalisé, unifié et transparent pourrait résoudre certains de ces problèmes.
- Arménie: Depuis l'adoption de la loi 2011 sur la liberté de réunion, la mise en œuvre s'est progressivement améliorée. Avant la révolution de velours 2018, il y avait eu une nette diminution de la violence lors de l'élection de 2016 par rapport aux années précédentes. Néanmoins, le recours à la force, notamment lors de rassemblements de l'opposition, laissait une marge de manœuvre importante, notamment des actes de violence illégaux et excessifs, bien documentés, dirigés contre les participants aux rassemblements, notamment des grenades éclair et des agents de police d'infiltration. Des poursuites énergiques ont été engagées et les détenus ont été placés en détention prolongée.
- Croatie: Le droit et la pratique de la Croatie sont bien harmonisés avec les normes internationales. La normalisation pourrait limiter le pouvoir discrétionnaire et la discrimination des autorités locales et créer un organe indépendant chargé de décider des interdictions et des restrictions.
- Nord de la macédoine: Le cadre juridique est solide, même s'il n'est pas entièrement aligné sur les normes et protocoles internationaux pour les autorités locales et les organisateurs ne sont pas tous transparents ou clairs. Un certain nombre de restrictions légales limitent le montage; une «assemblée» est limitée à 20 ou à plusieurs personnes et les organisateurs doivent payer des frais pour les opérations de maintien de l'ordre, en désaccord avec les directives de l'OSCE. (Voir l’encadré à la page 112 du Rapport global de l'OGP pour plus.)
- Moldavie: Malgré l'un des cadres les plus libéraux en matière de liberté de réunion dans la région, la Moldavie est confrontée à des problèmes de mise en œuvre liés aux revendications concurrentes d'espaces publics, en particulier aux niveaux les plus bas du gouvernement. Certaines municipalités et villes plus petites ferment des espaces publics pour des cérémonies officielles. Un certain nombre d’organisations ont envoyé des notifications plusieurs années à l’avance - y compris, dans un cas, les années 80 - empêchant de facto d’autres personnes de pouvoir se réunir au même moment et au même endroit. En outre, les organisateurs des assemblées d'opposition perçoivent une différence de traitement par rapport aux assemblées progouvernementales. Comme dans d’autres pays de l’enquête, les procédures et protocoles relatifs au recours à la force, à l’équipement et aux officiers restent opaques.
- SerbieMalgré la récente loi sur les réunions publiques (2016), la Serbie a perdu du terrain sur la liberté de réunion. En pratique, les assemblées spontanées, légales même sans organisateur, sont soumises à des restrictions, en particulier si les groupes sont sensibles à la politique. La police et des sanctions sans doute excessives ont restreint les rassemblements.
- UkraineMalgré des progrès sans équivoque, l'Ukraine n'a toujours pas de loi spécifique sur la liberté de réunion. Un projet de loi propose d'étendre le contrôle militaire sur les rassemblements pacifiques, malgré les protections constitutionnelles. Les autorités locales restreignent la liberté de réunion par des procédures fastidieuses de notification et d'autorisation. La police manque de directives claires et de formation pour gérer les rassemblements publics, notamment en ce qui concerne les détentions préventives et l’identité peu claire des policiers. (Comme mentionné précédemment dans cette section, L'Ukraine a fait un premier OGP engagementLes engagements du PGO sont des promesses de réforme co-créées par les gouvernements et la société civile et soumises dans le cadre d'un plan d'action. Les engagements comprennent généralement une description du problème, des actions concrètes... sur le droit fondamental de réunion.)
Crédit photo: CCat82, Adobe Stock
Este caso de estudio se publicó originalmente en el OGP Informe Global.
El European Center for Not-for-profit Law (ECNL), a través de un proyecto innovador enfocado en la libertad de asamblea, realizó una evaluación a siete miembros de OGP de Europa central y del Este en función de una serie de leyes y prácticas relevantes implementadas entre 2017 y 2019. (La evaluación incluyó también a países que no son miembros de OGP.) Muchos de estos países cuentan con marcos legales sólidos, pero tienen dificultades de implementación relacionados con la participación de la policía en eventos y carecen de procesos estandarizados para las autoridades, sobre todo a nivel local:
- Albania: El marco legal del país protege la libertad de asamblea. Sin embargo, en la práctica, Albania tiene mucho por mejorar. No está claro si los organizadores de las manifestaciones están obligados a enviar una notificación o solicitar un permiso. Esta falta de claridad restringe las asambleas espontáneas y genera una falta de coordinación con la policía. Algunos organizadores han sido multados por no contar con una autorización. El establecimiento de un proceso estandarizado, unificado y transparente para solicitar autorización, podría ayudar a resolver algunos de estos problemas.
- Armenia: Desde la publicación de la Ley de Libertad de Asamblea en 2011, la implementación ha mejorado gradualmente. Antes de la Revolución de Terciopelo de 2018, hubo una reducción de la violencia durante la elección del 2016 en comparación con los años anteriores. Sin embargo, la discreción en el uso de la fuerza era significativo, sobre todo durante manifestaciones organizadas por grupos de oposición. Se documentaron una serie de casos de violencia excesiva en contra de los participantes, incluyendo el uso de granadas y de policías encubiertos. Hubo un proceso intenso de persecución legal y detenciones prolongadas de los participantes en las asambleas.
- Croacia: La ley y prácticas de Croacia están bien alineadas con los estándares internacionales. Esta estandarización podría limitar la discreción y discriminación por parte de las autoridades locales y establecer un organismo independiente para definir las restricciones relevantes.
- Macedonia del Norte: El marco legal del país es robusto, aunque no está totalmente alineado con los estándares internacionales y los protocolos para las autoridades locales y los organizadores no son claros ni transparentes. Existe una serie de restricciones legales que limitan el derecho de asamblea; una “asamblea” está restringida a 20 personas o más y los organizadores deberán pagar una cuota para cubrir los costos de la supervisión policiaca, lo cual no está permitido según los lineamientos de la OSCE. (Ver el recuadro en la página 115 del OGP Informe Global).
- Moldavia: A pesar de contar con uno de los marcos más liberales para la libertad de asamblea de la región, Moldavia tiene dificultades de implementación relacionadas con temas encontrados sobre el espacio público, sobre todo a los niveles de Gobierno más bajos. Algunos municipios y localidades pequeñas cierran espacios públicos para organizar ceremonias oficiales. Diversas organizaciones han enviado notificaciones con años de anticipación (en un caso, 80 años antes), lo cual evita que otros grupos puedan reunirse al mismo tiempo y en el mismo lugar. Además, la percepción de los organizadores de asambleas de la oposición es que reciben un tratamiento diferente al que reciben los grupos que están a favor del Gobierno. Como ocurre en otros países que participaron en este estudio, los procedimientos y protocolos sobre el uso de la fuerza, equipo y funcionarios son opacos.
- Serbia: A pesar de la publicación reciente de la Ley de Asambleas Públicas (2016), Serbia ha perdido terreno sobre la libertad de asamblea.63 En la práctica, las asambleas espontáneas, legales a pesar de no contar con organizadores, enfrentan restricciones, sobre todo si los grupos son políticamente sensibles. La policía y presumiblemente la aplicación excesiva de sanciones han restringido a las asambleas.
- Ucrania: : A pesar de lograr avances inequívocos, Ucrania aún no cuenta con una ley de libertad de asamblea. Un borrador de ley propone ampliar el control militar sobre las asambleas pacíficas, a pesar de que la Constitución establece protecciones. Las autoridades locales restringen la libertad de asamblea a través de trámites engorrosos de notificación y autorización. La policía carece de lineamientos claros y de una capacitación adecuada sobre el manejo de asambleas públicas, incluyendo detenciones preventivas y una falta de claridad para la identificación de funcionarios. (Como se mencionó anteriormente en esta sección, Ucrania estableció un compromiso de OGP sobre el derecho fundamental de asamblea).
Cette étude de cas a été initialement publié dans le OGP Rapport Mondial.
L’European Center for Not-for-profit Law (ECNL), dans le cadre d’un projet novateur sur la liberté de réunion, a évalué sept pays membres du PGO en Europe centrale et en Europe de l’Est quant aux lois et aux pratiques pertinentes entre 2017 et 2019. (L’évaluation visait aussi deux pays non membres du PGO.) Plusieurs de ces pays membres du PGO se sont dotés de robustes cadres juridiques, mais ils sont aux prises avec des difficultés de mise en œuvre concernant le contrôle policier des activités et ils n’ont pas de processus normalisés entre les autorités, surtout au niveau local.
- Albanie: Le cadre juridique du pays protège les réunions. Cependant, en pratique, l’Albanie peut encore s’améliorer. Nous ignorons si les organisateurs doivent produire un avis ou recevoir une autorisation afin de manifester. De facto, une telle mesure restreint les réunions spontanées et entraîne un manque de coordination avec les policiers. Des organisateurs ont été mis à l’amende pour ne pas avoir obtenu d’autorisation. Un processus d’autorisation plus normalisé, unifié et transparent pourrait résoudre certains de ces problèmes
- Arménie: Depuis l’adoption de la Loi de 2011 sur la liberté de réunion, la mise en œuvre s’est graduellement améliorée. Avant la Révolution de velours de 2018, on a observé une forte diminution de la violence pendant l’élection de 2016 par rapport aux années précédentes. Néanmoins, le recours à la force comportait une bonne part d’arbitraire, surtout lors des rassemblements de l’opposition, et des actes de violence excessive, illégale et bien documentés contre les participants ont été commis, y compris l’usage de grenades aveuglantes et d’agents infiltrés. Les participants aux réunions ont été la cible de poursuites agressives et d’incarcération prolongée.
- Croatie: Les lois et les méthodes de la Croatie sont bien harmonisées aux normes internationales. La normalisation pourrait réduire la discrétion et la discrimination des autorités locales et créer un organisme indépendant chargé de décider des interdictions et des restrictions.
- Macédoine du Nord: Le cadre juridique est robuste, sans être totalement conforme aux normes et protocoles internationaux, car les autorités locales et les organisateurs ne sont pas tous transparents ou clairs. Certaines restrictions juridiques limitent la définition de « réunion » à au moins 20 personnes et les organisateurs doivent verser un montant pour le contrôle policier, en opposition aux lignes directrices de l’OSCE. (Pour de plus amples renseignements, voir l’encadré à la page 110.)
- Moldavie: Malgré un des cadres les plus permissifs en matière de liberté de réunion dans la région, la Moldavie est aux prises avec des difficultés de mise en œuvre à l’égard de demandes concurrentes pour l’utilisation de l’espace public, surtout dans les ordres inférieurs de gouvernement. Certaines municipalités et certains villages de moindre envergure ferment les espaces publics pour des cérémonies officielles. Certains organismes ont transmis un avis plusieurs années à l’avance, y compris, dans un cas, 80 ans, ce qui empêche de facto d’autres organismes de pouvoir se réunir au même moment à cet endroit. De plus, les organisateurs de réunions opposées au gouvernement perçoivent un traitement différent par rapport aux organisateurs favorables au gouvernement. Tout comme d’autres pays au sondage, les procédures et les protocoles concernant le recours à la force, à l’équipement et aux policiers demeurent nébuleux
- Serbie: Malgré la récente Loi sur les réunions publiques (2016), la liberté de réunion perd du terrain en Serbie. En pratique, les réunions spontanées, légales sans même d’organisateur, sont frappées de restrictions, surtout si les groupes sont politisés. Les réunions ont été entravées par la surveillance et des sanctions que certains qualifieront d’excessives.
- Ukraine: Malgré des progrès incontestables, l’Ukraine ne dispose toujours pas de loi portant spécifiquement sur la liberté de réunion. Un projet de loi propose d’imposer un contrôle militaire aux réunions pacifiques, malgré les protections garanties par la constitution. Les autorités locales restreignent la liberté de réunion à l’aide de processus fastidieux d’avis et d’autorisation. Les forces policières n’ont aucune ligne directrice claire et n’ont pas la formation idoine pour la gestion des réunions publiques, ce qui comprend des détentions prioritaires et l’identification équivoque des agents de police.(Comme nous le mentionnons plus haut, l’Ukraine a pris un engagement anticipé dans le cadre du PGO à l’égard du droit fondamental de se réunir.)
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