Les dirigeants de la société civile de l'OGP expriment leur vive inquiétude à l'égard du Guatemala
Declaración de los líderes de la sociedad civil de OGP de preocupación significativa sobre Guatemala
En tant que direction de la société civile Open Government Partnership (OGP), nous étions extrêmement préoccupés par le décret 4-2020 au Guatemala et son impact négatif probable sur la liberté d'association, de réunion et d'expression dans tout le pays.
Nous saluons la décision de la Cour constitutionnelle du Guatemala de suspendre la mise en œuvre du décret et l'acceptation de cette décision par Président Alejandro Giammattei.
Dans un lettre envoyée au comité directeur de l'OGP, Les organisations de la société civile guatémaltèque ont souligné comment la loi imposerait une surveillance gouvernementale beaucoup plus stricte de leurs activités quotidiennes, y compris leur travail pour renforcer les institutions démocratiques. Les nouvelles restrictions incluraient des limites administratives au financement étranger, le risque de violations substantielles de la vie privée et le recours à des exigences contraignantes, entravant le travail des organisations légitimes.
Le Guatemala est membre de l'OGP depuis 2011 et est signataire de la Déclaration du gouvernement ouvert qui déclare clairement: «Nous nous engageons à protéger la capacité des organisations à but non lucratif et de la société civile à fonctionner d'une manière compatible avec notre engagement en faveur de la liberté d'expression, d'association et d'opinion. Nous nous engageons à créer des mécanismes pour permettre une plus grande collaboration entre les gouvernements et les organisations de la société civile et les entreprises.
Le projet de loi porte atteinte à l'espace civique libre et ouvert au Guatemala et aux principes énoncés dans la Déclaration de gouvernement ouvert. Selon le Commission interaméricaine des droits de l'homme et des experts Centre international de droit des organisations à but non lucratif (ICNL), la loi viole les normes internationales.
Nous sommes solidaires de la société civile guatémaltèque. Nous appelons le gouvernement guatémaltèque à entamer un dialogue avec toutes les parties prenantes et le Congrès pour parvenir à un consensus sur les valeurs et les droits protégés par le Système interaméricain des droits de l'homme.
SIGNATURE
María Barón, Directrice Législative
Asma Cherifi, réseau TACID
Glynnis Cummings-John, Développement agité
Helen Darbishire, Access Info Europe
Aidan Eyakuze, Twaweza
Delia Ferreira Rubio, Transparency International
Robin Hodess, l'équipe B
Giorgi Kldiashvili, Institut pour le développement de la liberté d'information
Tur-Od Lkhagvaja, Réseau de la démocratie asiatique
Lucy McTernan, Université de York
Elisa Peter, publiez ce que vous payez
Zuzana Wienk, corbeau blanc
Como líderes de la sociedad civil del Comité Directivo de la Alianza para el Gobierno Abierto (OGP por sus siglas en inglés), estuvimos extremadamente preocupados sobre el decreto 4-2020 en Guatemala y el impacto negativo que tendría sobre la libertad de asociación, reunión y expresión en todo el país.
Acogemos con beneplácito la decisión de la Corte de Constitucionalidad de Guatemala de suspender la implementación del decreto y la aceptación de esta decisión por parte del Presidente Alejandro Giammattei.
En una carta enviada al Comité Directivo de OGP, las organizaciones de la sociedad civil guatemalteca enfatizaron cómo la ley impondría una supervisión gubernamental mucho más estricta en sus actividades diarias, incluido su trabajo para fortalecer las instituciones democráticas. Las nuevas restricciones incluyen límites administrativos a la financiación extranjera, la posibilidad de violaciones sustantivas de la privacidad y el uso de requisitos onerosos que impiden el trabajo de organizaciones legítimas.
Guatemala ha sido miembro de OGP desde 2011 y es signatario de la Declaración de Gobierno Abierto que establece claramente: “Nos comprometemos a proteger la capacidad de las organizaciones sin fines de lucro y de la sociedad civil para operar de manera consistente con nuestro compromiso con la libertad de libertad. expresión, asociación y opinión. Nos comprometemos a crear mecanismos para permitir una mayor colaboración entre los gobiernos y las organizaciones y empresas de la sociedad civil.
La ley vulnera y socava el espacio cívico en Guatemala y los principios de la Declaración de Gobierno Abierto. Según la Comisión Interamericana de Derechos Humanos y los expertos del Centro Internacional de Derecho sin Fines de Lucro (ICNL), la ley contraviene estándares internacionales.
Apoyamos a la sociedad civil guatemalteca. Por lo tanto, pedimos al gobierno guatemalteco que abra un proceso de diálogo con todas las partes interesadas y el Congreso para alcanzar un consenso sobre los valores y derechos protegidos por el Sistema Interamericano de Derechos Humanos.
FIRMAS
María Barón, Directorio Legislativo
Glynnis Cummings-John, Restless Development
Helen Darbishire, Access Info Europe
Aidan Eyakuze, Twaweza
Delia Ferreira Rubio, Transparency International
Robin Hodess, The B Team
Giorgi Kldiashvili, Institute for Development of Freedom of Information
Tur-Od Lkhagvaja, Asia Democracy Network
Lucy McTernan, University of York
Elisa Peter, Publish What You Pay
Zuzana Wienk, White Crow
Soyez sympa! Laissez un commentaire