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Ghana

Droits de l'homme et lutte contre la corruption (GH0004)

Vue d’ensemble

D'un coup d'œil

Plan d'action: Plan d'action du Ghana 2013-2014

Cycle du plan d'action : 2013

Statut:

Institutions

Institution chef de file : Ministère des finances et de la planification économique (MOFEP), Ministère de la justice et Département du procureur général (MOJAGD), Commission des droits de l'homme et de la justice administrative (CHRAJ).

Institution(s) de soutien : Coalition anti-corruption du Ghana (GACC), Initiative des droits de l'homme du Commonwealth (CHRI), Initiative pour l'intégrité du Ghana (GII).

Domaines politiques

Lutte contre la corruption et intégrité, Institutions anti-corruption, Droits de l'homme, Participation du public

Revue IRM

Rapport IRM: Ghana 2013-2014 Rapport de fin de session, Rapport d'avancement sur le Ghana 2013-2014

Premiers résultats : marginaux

Conception i

Vérifiable : Oui

Pertinent pour les valeurs OGP : Oui

Ambition (voir définition): Haut

Implémentation i

Achèvement:

Description

L'engagement du gouvernement à l'égard des droits de l'homme est déjà manifeste dans la création du tribunal des droits de l'homme. Le Gouvernement ghanéen renforcera de manière substantielle le régime de défense des droits de l'homme et de lutte contre la corruption existant déjà en soutenant la Commission des droits de l'homme et de la justice administrative (CHRAJ) afin qu'elle s'acquitte plus efficacement de ses mandats en matière de droits de l'homme et de lutte contre la corruption. Un moyen sûr de concrétiser cet engagement consistera à clarifier le mandat de la CHRAJ afin d'éviter que la Commission ne soit submergée de pétitions ne relevant pas de son mandat, en particulier dans les districts ruraux du Ghana.
Le gouvernement soutiendra également la CHRAJ dans la surveillance de ses obligations internationales en matière de droits de l'homme. À l'heure actuelle, les décisions de la CHRAJ n'ont pas le poids d'une cour de justice. Le gouvernement s’engage à mettre en place l’instrument législatif nécessaire qui permettra aux requérants retenus devant la CHRAJ d’enregistrer les décisions de la CHRAJ devant un tribunal pour constituer un jugement d’un tribunal compétent.
En outre, le gouvernement examinera les salaires et les conditions de service du personnel de la CHRAJ en vue de procéder à une mise à niveau importante afin de freiner le flot de départs de juristes de la Commission. Actes:
• Procéder à un examen conjoint par le gouvernement et par les organisations de la société civile responsables de la lutte contre la corruption et des droits de l'homme des principaux obstacles à l'efficacité de la CHRAJ.
• Présenter un rapport au Cabinet, par l'intermédiaire du Procureur général, pour examen et mise en œuvre des recommandations.
• Surveiller l'impact de la mise en œuvre des recommandations par le comité mixte gouvernement-OSC.
• Suivre la mise en œuvre de l'engagement du Ghana envers les protocoles et les instruments de l'Union africaine et de l'ONU contre la corruption.
• Organiser, vers le milieu de 2014, une session commune de suivi-évaluation de toutes les agences responsables pour veiller à ce que le mandat de la CHRAJ soit clarifié (la CHRAJ veille au respect par le gouvernement des engagements internationaux en matière de droits de l'homme; la CHRAJ bénéficie d'une amélioration substantielle de sa rémunération et de ses conditions de service; enregistré pour conférer le statut de décision judiciaire


Engagements

Open Government Partnership