Les militants et les journalistes aident les gouvernements à rester transparents et responsables de leurs actions en veillant à ce que l'information parvienne au public. Ils servent d'intermédiaires essentiels, reliant les institutions publiques et les décideurs aux citoyens ordinaires. Ils demandent des données, déposent des demandes de droit à l'information et suivent les histoires. Sans eux, les données restent des données et ne deviennent jamais des enquêtes, des actions en justice ou des plaidoyers.
Encore, plus des deux tiers des pays OGP font face à des contraintes sévères à modérées pour des médias libres et indépendants, selon Freedom House. In quatre pays OGP sur cinq, les journalistes font état de harcèlement, souvent imputable à des acteurs non étatiques. Dans une petite mais notable minorité de pays membres du PGO, les militants sont victimes de harcèlement, de stigmatisation, de détention et de violence. Dans les pays 50 OGP, les enquêtes et les poursuites pour menaces de journalistes sont insuffisantes.
OGP encourage les journalistes et les militants à utiliser le processus OGP pour renforcer le droit à l'information et lutter contre la corruption. Les journalistes ont participé aux processus de l'OGP et ont soutenu la mise en œuvre des engagements pris en Croatie, en Argentine, en Arménie, au Nigéria et aux Philippines.
Le respect des droits des journalistes et des activistes et la garantie de leur sécurité sont essentiels pour un gouvernement ouvert.