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Kenya

Développement plus transparent et participatif des politiques sur le climat aux niveaux national et infranational (KE0010)

Vue d’ensemble

D'un coup d'œil

Plan d'action: Plan d'action national du Kenya 2016-2018

Cycle du plan d'action : 2016

Statut:

Institutions

Institution responsable : ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles

Institution(s) de soutien : Bureau du vice-président Ministère de l'environnement Service forestier du Kenya (KFS) Ministère des affaires étrangères Autorité des TIC - Initiative des données ouvertes du Kenya (KODI) ; African Centre for Technology Studies (ACTS) SIFA Kenya INFONET Africa Greenbelt Movement Transparency International (K), Kenya Association of manufacturers (KAM) TOTAL KENYA Food and Agriculture Organization (FAO)

Domaines politiques

Accès à l'information, Atténuation et adaptation au changement climatique, Environnement et climat, Accords environnementaux internationaux, Open Data, Participation du public, Objectifs de développement durable

Revue IRM

Rapport IRM: Rapport de fin de mandat du Kenya 2016-2018, Rapport à mi-parcours sur le Kenya 2016- 2018

Premiers résultats : marginaux

Conception i

Vérifiable : Oui

Pertinent pour les valeurs OGP : Oui

Ambition (voir définition): Haut

Implémentation i

Achèvement:

Description

Statu quo ou problème abordé par l'engagement Kenya, de nombreux pays du monde ayant adhéré à l'Accord de Paris en décembre 2015, qui fournit un cadre pour la coopération multilatérale sur le changement climatique. L’accord souligne la nécessité de renforcer les mécanismes de transparence et de responsabilisation permettant aux pays de progresser dans la réalisation de leurs contributions et autres engagements déterminés. Les ODD adoptés en septembre 2015 fixent également des objectifs ambitieux qui exigent de la créativité et de l’innovation dans leur mesure et leur réalisation. Objectif principal Créer des institutions transparentes et réactives qui gèrent et développent les politiques climatiques au Kenya. Brève description de l'engagement Engagements vise à créer un environnement transparent et participatif pour la mise en œuvre de politiques climatiques saines, conformément à la loi sur les changements climatiques 2016.

Résumé du statut à mi-parcours de l'IRM

1. Politiques climatiques transparentes et participatives

Texte d'engagement:

Titre: 1. Développement plus transparent et participatif des politiques climatiques aux niveaux national et sous-national

Statu quo ou problème abordé dans l'engagement: le Kenya, autant de pays dans le monde ont adhéré à l'Accord de Paris en décembre 2015, qui fournit un cadre pour la coopération multilatérale sur le changement climatique. L’accord souligne la nécessité de renforcer les mécanismes de transparence et de responsabilisation permettant aux pays de progresser dans la réalisation de leurs contributions et autres engagements déterminés. Les ODD adoptés en septembre 2015 fixent également des objectifs ambitieux qui exigent de la créativité et de l’innovation dans leur mesure et leur réalisation.

Objectif principal:

- Créer des institutions transparentes et réactives qui gèrent et développent les politiques climatiques au Kenya. Brève description de l'engagement

- Engagement vise à créer un environnement transparent et participatif pour la mise en œuvre de politiques climatiques saines, conformément à la loi sur les changements climatiques 2016.

Jalons:

1.1. Mettre en place un processus de consultation multipartite transparent et robuste pour rendre opérationnelle la loi sur les changements climatiques

1.2. Création du Conseil multipartite sur le changement climatique et de la direction sur le changement climatique

1.3. Open Up Forestry Datasets, en encourageant sa réutilisation et le développement d'applications et de services conviviaux basés sur les données par les organisations de la société civile et le secteur privé

1.4. Ratification du traité de Paris sur le climat par le Parlement kényan

1.5. Développement et approbation de la politique de lutte contre le changement climatique

Institution responsable: Ministère de l'environnement et des ressources naturelles

Institutions d'appui: Bureau du vice-président; Ministère de l'environnement et des ressources naturelles; Service forestier du Kenya (KFS); Ministère des Affaires étrangères; ICT Authority - Initiative de données ouvertes du Kenya (KODI); Centre africain d'études technologiques (ACTS); SIFA Kenya; INFONET; Mouvement de la ceinture de verdure en Afrique; Transparency International (TI); Association des fabricants du Kenya (KAM); TOTAL KENYA; et Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)

Date de début: 1 Août 2016

Date de fin: 30 mai 2018

Contexte et objectifs

Depuis 2010, le gouvernement du Kenya a pris des mesures audacieuses pour lutter contre les menaces posées par le changement climatique, telles que l'élaboration d'une politique-cadre nationale sur le changement climatique.[Note51: David B. Adegu, 'Projet de loi-cadre national sur les changements climatiques' (Secrétariat national aux changements climatiques, Ministère de l'environnement, de l'eau et des ressources naturelles, 2015) http://www.thecvf.org/wp-content/uploads/2015/07/Kenya.pdf.] et un plan d'action climat 2013 – 2017.[Note52: Plan d’action national contre le changement climatique 2013 -2017 (Gouvernement du Kenya, 2013) https://cdkn.org/wp-content/uploads/2013/03/Kenya-National-Climate-Change-Action-Plan.pdf.] L'économie du Kenya est fortement dépendante des ressources naturelles et est donc très vulnérable à la variabilité et au changement climatiques.[Note53: Document parlementaire n ° 3 de 2016 sur la politique-cadre nationale sur le changement climatique, Ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles, Résumé. ] Le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles est à l'avant-garde de la réforme de l'atténuation des changements climatiques et de l'adaptation à ses effets. Avant l’élaboration du plan d’action OGP, la politique kenyane relative aux changements climatiques ne disposait pas de mécanismes suffisants pour assurer la transparence, la participation du public et la responsabilité, comme le prévoyait l’Accord de Paris. Le traité de Paris impose aux gouvernements de participer avec les différentes parties prenantes et de faire rapport sur les émissions potentielles et la planification de l'adaptation au changement climatique et de l'atténuation de ses effets..

Les activités incluses dans cet engagement visent à accroître la participation des citoyens à la politique environnementale et à mettre davantage d'informations à la disposition des citoyens. Le jalon 1.1 envisage d'associer les parties prenantes de la société civile à la mise en œuvre de la loi de 2016 sur les changements climatiques.[Note54: La loi sur les changements climatiques (2016) renforce la gouvernance et la coordination en matière de changements climatiques et envisage d’intégrer les considérations relatives aux changements climatiques dans la planification, la budgétisation et la mise en œuvre du développement dans le cadre du Plan d’action national pour la lutte contre les changements climatiques.] plan d’action national, un certain nombre de réseaux consultatifs et de coalitions coordonnés par les OSC étaient en place, tels que le Groupe de travail sur le climat au Kenya (KCCWG).[Note55: Le KCCWG est un forum réunissant des organisations de la société civile, des donateurs, des ministères et des organismes gouvernementaux.] Cependant, le ministère de l'Environnement n'a pas dialogué avec les organisations de la société civile. Si elle était pleinement mise en œuvre, cette étape garantirait la participation des OSC à la collaboration avec le gouvernement sur les politiques relatives au changement climatique.

Jalon 1.2. implique davantage les parties prenantes dans la mise en œuvre de la loi sur les changements climatiques en créant un conseil et une direction multipartites sur les changements climatiques. Ces deux organes forment un mécanisme de coordination pour superviser la mise en œuvre du plan d'action national sur le changement climatique, orienter les politiques et mener des recherches.. La loi confie à la Direction du changement climatique le rôle d'organisme gouvernemental principal pour la coordination des plans et des opérations nationaux intragouvernementaux relatifs au changement climatique. La Direction assure le secrétariat du Conseil sur les changements climatiques, tandis que le Conseil définit les orientations stratégiques.

Le conseil, formé en novembre 2016, est présidé par le président qui nomme également jusqu'à neuf membres du conseil. Il se compose des secrétaires de cabinet responsables des questions d'environnement et de changement climatique; le trésor national; planification économique; énergie; le président du conseil des gouverneurs; des représentants du secteur privé; société civile; communautés et universités marginalisées. À l'exception des secrétaires du Cabinet, les candidats doivent être approuvés par le Parlement.

Les activités décrites dans Milestone 1.3. mettre l'accent sur l'ouverture au grand public des ensembles de données sur les forêts et encourager leur réutilisation. L'utilisation publique des ensembles de données sur les forêts entraînerait une plus grande transparence des questions relatives à la dégradation de l'environnement et aux conflits fonciers au Kenya. Ces données sont également essentielles pour les parties prenantes travaillant dans ces domaines. Les problèmes environnementaux au Kenya comprennent la déforestation, l'érosion des sols, la désertification, le manque d'eau et la dégradation de la qualité de l'eau, les inondations, le braconnage et la pollution domestique et industrielle. Les données climatiques générées par le gouvernement sont actuellement sous forme géospatiale et les répondants des organisations de la société civile ont lancé un appel à l'aide pour rendre les données plus accessibles et formatées de manière à ce qu'elles puissent être réutilisées.

Le jalon 1.4, qui doit ratifier le Traité de Paris sur le climat au sein du parlement kenyan, comprend plusieurs dispositions essentielles. Le gouvernement du Kenya a adhéré à l'Accord de Paris en décembre 2015, ce qui a conduit les lois kényanes à renforcer les mécanismes de transparence et de responsabilisation dans les réformes environnementales. La constitution du Kenya reconnaît tous les engagements internationaux ratifiés par le Kenya. L'article 2 (6) stipule que, 'Tout traité ou convention ratifié par le Kenya fait partie intégrante de la loi kényane en vertu de la présente Constitution.' La ratification de l'Accord de Paris pourrait transformer la pratique gouvernementale en collaboration avec les parties prenantes pour faire face aux effets du changement climatique.

Enfin, Milestone 1.5, pour élaborer et approuver la politique en matière de changement climatique, exige que le gouvernement crée un cadre global pour renforcer son engagement à lutter contre le changement climatique. Le document de politique vise à identifier les nouvelles lois nécessaires pour atteindre ses objectifs. Comme indiqué, ce jalon n'est pas spécifique et aurait été plus pertinent s'il avait été défini avant la promulgation de la loi sur les changements climatiques de 2016. On ne sait pas quelles politiques climatiques supplémentaires seront élaborées dans le cadre de cette étape.

Un membre clé du ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles a fait remarquer que, même si le ministère progressait dans les activités d'engagement, des engagements plus fermes étaient nécessaires pour obtenir un impact plus important. Les activités relevant de cet engagement sont des initiatives gouvernementales en cours et leur contribution au changement de pratiques gouvernementales peut être limitée, en fonction de la manière dont elles sont mises en œuvre. Certains des jalons sont vagues et décrivent de manière vague comment leur mise en œuvre assurera une politique de changement climatique au Kenya plus transparente et plus responsable.

Cet engagement, s'il est pleinement mis en œuvre, permettrait de combler les lacunes opérationnelles et d'accroître la participation des OSC à la mise en œuvre des nouvelles politiques nationales sur le climat du Kenya. En incluant cet engagement dans le plan d'action, il exploite les réseaux d'OSC impliquées dans l'OGP pour amener davantage de voix dans la mise en œuvre des politiques climatiques nationales et, s'il est pleinement mis en œuvre, satisferait aux exigences de participation civique définies dans l'Accord de Paris sur le climat, tout en renforçant les meilleures pratiques pour impliquer davantage de parties prenantes dans la politique climatique. Pour cette raison, l'engagement peut être considéré comme ayant un impact modéré sur l'ouverture du gouvernement.

Aboutissement

Le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles a réalisé des progrès significatifs au cours de la première année de mise en œuvre dans la réalisation de l'engagement. Comme indiqué ci-dessous, deux des cinq jalons ont été achevés, tandis que deux autres sont en grande partie terminés.

1.1. Mettre en place un processus consultatif multipartite transparent et robuste pour la mise en œuvre de la loi sur les changements climatiques - substantielle

La loi sur les changements climatiques adoptée en mai 2016 avant l’élaboration du plan d’action. Il contient des dispositions relatives à la participation du public et à l'accès à l'information, telles qu'énoncées à l'article 24 et à l'article 30 sur la stratégie d'engagement du public. La société civile a été consultée par l'intermédiaire du Kenya Climate Working Group (KCCWG).[Note56: KCCWG, 'À propos de nous' (consulté 21 Feb 2018) http://www.kccwg.org/about.html.] et des forums d'audiences sur le climat organisés au niveau local pour recueillir les points de vue. Le processus de consultation multiple doit être ancré dans la loi par le biais d'une directive ministérielle ou d'une circulaire sur ses lignes directrices.

1.2 Mise en place du Conseil multipartite sur le changement climatique et de la direction sur le changement climatique - Substantielle

La loi sur les changements climatiques adoptée en mai 2016 prévoit la création du Conseil national sur les changements climatiques. La Direction des changements climatiques assurera le secrétariat du Conseil.[Note57: Le Conseil se compose de neuf membres: quatre secrétaires de cabinet représentant les ministères de l'environnement et du changement climatique (1), du Trésor national (2), de la planification économique (3) et de l'énergie (4); ainsi que (5) le président du conseil des gouverneurs; (6) un représentant du secteur privé; (7) un représentant de la société civile; (8) un représentant des communautés marginalisées et des universités (9). À l'exception des secrétaires de cabinet et du président du conseil des gouverneurs, les quatre autres candidats doivent être approuvés par le Parlement.] Le Conseil comprend neuf membres: quatre secrétaires de cabinet et un représentant du Conseil des gouverneurs, du secteur privé, de la société civile, des communautés marginalisées et du monde universitaire. À l'exception des secrétaires de cabinet et du président du conseil des gouverneurs, les quatre autres candidats restants doivent être approuvés par le Parlement.

Lors de la sélection des candidats par le Parlement, le L'Assemblée nationale a rejeté deux candidats représentant la société civile et la communauté marginalisée.[Note58: Gideon Keter, 'House rejette deux candidats au Conseil national sur le changement climatique' (The Star, 11 janvier 2017) https://www.the-star.co.ke/news/2017/01/11/house-rejects-two-nominees-to-national-climate-change-council_c1485259. ] Les noms des candidats approuvés au conseil ont ensuite été officiellement publiés dans la Gazette du Kenya, numéro 136 de 2016, sur 7. Novembre 2016. cependant, le conseil n'a pas été complètement constitué en raison d'un différend sur le processus de sélection des représentants des organisations de la société civile et des communautés marginalisées. Transparency International Kenya, le Green Belt Movement et l'Alliance panafricaine pour la justice climatique, en étroite collaboration avec d'autres organisations de la société civile travaillant sur le changement climatique, a engagé une procédure judiciaire en janvier 2017.[Note59: La référence de l'affaire est JR No.11 of 2017.] Les organisations de la société civile avaient suivi un processus complexe pour sélectionner un représentant, mais avaient découvert que le candidat proposé avait été écarté du numéro de gazette 136 de 2016. L'affaire en cours met en cause le processus. Les ordonnances de sursis n'ont pas été accordées,[Note60: République / Assemblée nationale et 2 autres ex-parte Green Belt Movement & 5 autres (Haute Cour du Kenya à Nairobi, 13 février 2017) http://kenyalaw.org/caselaw/cases/view/131918/.] et l'audience est fixée pour 20 November 2017.

Immédiatement après l’adoption et l’application de la loi sur les changements climatiques en mai 2016, la La direction a été créée par le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles. Entre autres fonctions, la Direction est l’organisme chef de file du gouvernement chargé des plans nationaux de lutte contre le changement climatique et des actions de coordination des opérations. Sous la direction du Centre national de ressources sur les changements climatiques (NCCRC)[Note61: Portail de connaissances sur le changement climatique au Kenya, 'NCCRC - Centre national de ressources sur le changement climatique' (ministère de l'Environnement, Direction du changement climatique, consulté 21 février 2018) lecrd.co.ke/nccrc-national-climate-change-resource-centre /. ] a été créé au ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles. Le NCCRC est le référentiel national d'informations sur le changement climatique et héberge les bureaux de la Direction du changement climatique. La direction est responsable de la gestion d'un registre des changements climatiques[Note62: ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles, «Registre national des changements climatiques» (consulté sur 21 février 2018) kenyaclimateregistry.info/usrlgn.aspx.] d’atténuation appropriées des entités publiques et privées. Le registre permet aux acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux de mieux comprendre les mesures prises en matière de changement climatique au Kenya et aide la Direction des changements climatiques à satisfaire aux exigences nationales et internationales en matière de rapports sur les changements climatiques. Le registre inclut des actions qui se déroulaient dans 2013, la première année du Kenya's national Plan d'action sur les changements climatiques 2013-2017 et jusqu'à mai 2017.

1.3. Open Forestry Datasets - Limited

Le ministère de l'Environnement, en étroite coordination avec le Kenya Forest Service, s'emploie à ouvrir et à mettre à la disposition du public des ensembles de données forestières accessibles au public dans des SIG et d'autres formats conviviaux. Le répondant du ministère a expliqué que des responsables du ministère et du Kenya Forest Service avaient organisé des réunions pour discuter des ensembles de données à ouvrir, tels que des cartes forestières.[Note63: Vous trouverez des exemples de cartes de la forêt du Kenya à l’adresse suivante: http://www.arcgis.com/apps/View/index.html?appid=fc9f167106e44f3cbd0e0b31f23b6794.]

1.4. Ratification du traité de Paris sur le climat par le Parlement kényan - Terminé

L’Accord de Paris a été approuvé par le Parlement conformément à la loi d’élaboration et de ratification du traité de 2012. Le secrétaire du Cabinet, le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles, a soumis l'accord au Cabinet accompagné d'un mémorandum d'appui. Le Cabinet a approuvé la ratification de l'accord. Le secrétaire du Cabinet a ensuite soumis l'accord et le mémorandum au Parlement, qui a approuvé l'accord sans réserves et qui a pris effet 27 Janvier 2017.

1.5. Développement et approbation de la politique sur le changement climatique - Terminé

À partir de novembre 2017, le projet de politique sur le changement climatique[Note 64 : « Document de session n° 3 de 2016 sur la politique-cadre nationale sur le changement climatique (Ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles) webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:17B999pyh8oJ:www.ke.undp.org/content/dam /kenya/docs/energy_and_environment/2016/Climate-Change-Framework-Policy(31Nov2016).doc%3Fdownload+&cd=1&hl=en&ct=clnk.] attendait l'approbation du Cabinet.[Note65: Unité de la présidence, Environnement et ressources naturelles '(Bureau du président, consulté 21 février 2018) https://www.delivery.go.ke/ministryprojects/14.] Le cadre de lutte contre le changement climatique cherche à faciliter une réponse coordonnée, cohérente et efficace aux défis et opportunités locaux, nationaux et mondiaux présentés par le changement climatique. Une approche d'intégration globale a été adoptée pour assurer l'intégration des considérations relatives au changement climatique dans la planification, la budgétisation et la mise en œuvre du développement, dans tous les secteurs et à tous les niveaux de gouvernement. La politique vise donc à renforcer la capacité d'adaptation et la résilience à la variabilité et aux changements climatiques, tout en favorisant une voie de développement à faible émission de carbone. Le gouvernement du Kenya a réalisé des progrès significatifs dans la réalisation de l'engagement pris en matière de lutte contre le changement climatique en mettant en œuvre un cadre politique et législatif favorable.[Note66: Les accords ratifiés incluent:

L'accord de Paris,

Stratégie nationale de gestion des zones humides et de la conservation,

Loi sur les changements climatiques 2016-[1] adopté,

Mise en place de la direction du changement climatique,

Création du Conseil national sur le changement climatique,

Politique environnementale nationale approuvée,

Politique approuvée d’éducation pour le développement durable,

Politique nationale approuvée de conservation et de gestion des zones humides,

Politique de gestion intégrée des zones côtières approuvée,

Loi n ° 5 de 2015 sur la gestion et la coordination de l’environnement approuvée,

Politique sur les changements climatiques en attente d'approbation par le Cabinet,

Règlement approuvé sur les déchets dangereux,

Plan d'action national approuvé sur les polluants organiques persistants,

Les ressources naturelles (catégories de transaction sujettes à rectification), Bill 2015,

Contribution nationale déterminée déterminée (NDC) et soumise à la CCNUCC en avril 2016,

Élaboration de la stratégie et du plan de mise en œuvre de l'économie verte nationale (GESIP), et

Le gouvernement a intégré le changement climatique dans la planification sectorielle.]

Premiers résultats

La ratification de l'Accord de Paris est une étape majeure pour assurer des politiques plus transparentes et plus responsables en matière de changement climatique. La création du Conseil «Climat» et de la Direction «Changements climatiques» est une étape positive, mais la société civile a contesté la dotation en personnel du Conseil. TI Kenya fait pression pour une plus grande transparence dans le processus de recrutement et conteste la nomination du représentant des OSC concerné au conseil par le biais d'une action en justice.

Prochaines étapes

Dans le prochain plan d'action, le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles doit collaborer avec toutes les parties prenantes pour assurer la mise en œuvre effective de la Loi sur les changements climatiques en organisant des forums de sensibilisation sur la législation relative aux changements climatiques. Les organisations et les réseaux travaillant sur les questions de changement climatique, tels que le réseau kenyan pour l'eau et l'assainissement, le programme Initiatives jeunesse pour l'Afrique sur le climat, le réseau kényan pour le financement du climat, Umande Trust et CARE International devraient être consultés.[Note67: Suswatch Kenya, Projet de base national du Kenya (Promotion de la mise en œuvre de l'Accord de Paris en Afrique de l'Est (projet PIPA), mai 2017) http://www.inforse.org/africa/pdfs/PIPA_Kenya_Baseline_Report_May_8_2017.pdf.]

Le Cabinet doit approuver la politique climatique et développer des règlements visant à assurer la mise en œuvre de la loi sur les changements climatiques. Le processus multipartite doit être institutionnalisé par le biais d'une circulaire gouvernementale exposant les principes directeurs régissant l'établissement, la composition et la nomination des représentants, ainsi que leur fonction et leur contrôle. Cela pourrait assurer que les OSC et les groupes climatiques concernés ont une voix permanente et restent engagés dans la mise en œuvre des politiques climatiques.

Il y a un besoin d'éducation et renforcement des capacités sur la manière de participer aux consultations afin qu'un plus grand nombre d'OSC puissent s'engager dans le processus plutôt que de simples experts en la matière.

· Le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles doit veiller à ce que les représentants de la société civile soient dûment choisis et inclus dans les travaux du Conseil et de la direction sur les changements climatiques.

Résumé du statut de fin de session IRM

1. Politiques climatiques transparentes et participatives

Texte d'engagement:

Titre: 1. Développement plus transparent et participatif des politiques climatiques aux niveaux national et sous-national

Statu quo ou problème abordé dans l'engagement: le Kenya, autant de pays dans le monde ont adhéré à l'Accord de Paris en décembre 2015, qui fournit un cadre pour la coopération multilatérale sur le changement climatique. L’accord souligne la nécessité de renforcer les mécanismes de transparence et de responsabilisation permettant aux pays de progresser dans la réalisation de leurs contributions et autres engagements déterminés. Les ODD adoptés en septembre 2015 fixent également des objectifs ambitieux qui exigent de la créativité et de l’innovation dans leur mesure et leur réalisation.

Objectif principal:

  • Créer des institutions transparentes et réactives qui gèrent et développent des politiques climatiques au Kenya.

Brève description de l'engagement

  • L'engagement vise à créer un environnement transparent et participatif pour la mise en œuvre de politiques climatiques saines conformément à la loi de 2016 sur le changement climatique.

Jalons:

  1. Développer un processus consultatif multipartite transparent et solide pour opérationnaliser la loi sur les changements climatiques
  2. Création du Conseil multipartite sur le changement climatique et de la Direction du changement climatique
  3. Ouvrir les ensembles de données forestières, encourager leur réutilisation et le développement d'applications et de services conviviaux axés sur les données par les organisations de la société civile et le secteur privé
  4. Ratification du traité de Paris sur le climat par le Parlement kenyan
  5. Développement et approbation de la politique sur le changement climatique

Institutions responsables: Ministère de l'environnement et des ressources naturelles

Institutions d'appui: Bureau du vice-président; Ministère de l'environnement et des ressources naturelles; Service forestier du Kenya (KFS); Ministère des Affaires étrangères; ICT Authority - Initiative de données ouvertes du Kenya (KODI); Centre africain d'études technologiques (ACTS); SIFA Kenya; INFONET; Mouvement de la ceinture de verdure en Afrique; Transparency International (TI); Association des fabricants du Kenya (KAM); TOTAL KENYA; et Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)

Date de début: 1 Août 2016

Date de fin: 30 mai 2018

But de l'engagement

Cet engagement visait à accroître la participation des citoyens à la politique environnementale et à rendre plus d'informations disponibles aux citoyens, conformément à la loi kenyane sur le changement climatique de 2016 (CCA). Plus précisément, il envisageait un processus solide, transparent et multipartite pour opérationnaliser la loi sur les changements climatiques; la création d'un Conseil national sur le changement climatique (NCCC) et d'une direction du changement climatique multipartite; publier des ensembles de données forestières; ratifier l'Accord de Paris de 2015; et l'élaboration et l'approbation de la politique sur le changement climatique.

Statut

À mi-parcours: Substantiel

Dans l'ensemble, cet engagement a connu des progrès substantiels à mi-parcours. Le CCA a été adopté et est entré en vigueur en mai 2016. À mi-parcours, un processus consultatif multipartite avait été lancé dans le cadre d'un certain nombre de forums d'auditions sur le climat organisés au niveau local. (Milestone 1.1).

La Direction des changements climatiques (CCD) a été établi à mi-parcours (étape 1.2), mais un conflit juridique concernant la représentation de la société civile au sein du NCCC a retardé l'opérationnalisation du NCCC. Le NCCC comprend neuf membres issus des secteurs public et privé, dont un membre de la société civile «nommé par l'association faîtière nationale enregistrée la plus représentative des sociétés civiles travaillant sur le changement climatique» et un membre de la société civile représentant une «communauté marginalisée» (comme défini à l'article 260 de la Constitution kényane). Le Parlement kenyan doit approuver ces nominations de la société civile, mais la procédure de nomination n'est pas autrement prescrite par la loi.

En juillet et août 2016, les OSC ont tenu des réunions consultatives et participatives pour désigner des personnes au NCCC. Un comité de onze membres a été constitué pour élaborer les critères de sélection et diriger le processus de mise en candidature, étant donné le manque de directives au sein du CCA. Le secrétaire du Cabinet du Parlement a été informé à l'avance du processus de nomination des OSC. Le Groupe de travail de la société civile sur le changement climatique (CSWGCC) a cartographié les organisations travaillant sur les questions de changement climatique éligibles à participer au processus de nomination. Le CSWGCC a finalisé les nominés des OSC au NCCC et a informé le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles du processus suivi et des candidats au début d'août 2016.

En octobre et novembre 2016, le président a nommé les membres du NCCC contrairement aux dispositions de l'article 7 du CCA. Les deux personnes nommées par le président pour représenter la société civile et les communautés marginalisées ne comprenaient pas les personnes désignées par le processus des OSC.

Cependant, un processus de nomination conforme aux dispositions de la CCA (nomination et approbation par le Parlement) s'est ensuite déroulé en décembre 2016. Le président a soumis ses nominations au CNCC à l'Assemblée nationale le 29 novembre 2016. Sa liste comprenait le candidat des OSC pour les communautés marginalisées, et le président du Groupe de travail sur le changement climatique au Kenya (KCCWG), M. John Kioli, en tant que représentant de «l'organisation faîtière», représentant les organisations de la société civile travaillant sur le changement climatique au Kenya. Le 20 décembre 2016, l'Assemblée nationale a rejeté le candidat des OSC pour les communautés marginalisées et a approuvé la nomination de M. Kioli.

Trois organisations de la société civile a par la suite contesté le processus de nomination du NCCC devant la Haute Cour du Kenya. Ils ont fait valoir que le représentant de la société civile n'avait pas été nommé par la véritable association faîtière nationale des sociétés civiles, et que le rejet du candidat des OSC pour les communautés marginalisées allait à l'encontre des prescriptions concernant la représentation des sexes au sein du NCCC. Leur demande de suspension des nominations a été rejetée, mais une audience sur le bien-fondé du processus de nomination a néanmoins été prévue pour une étape ultérieure. Le 28 février 2017, le Sénat a approuvé les représentants contestés pour les positions de la société civile sur le NCCC.

Le Ministère de l'environnement et des ressources naturelles, en coordination avec le Service des forêts du Kenya, a tenu des réunions pour discuter des ensembles de données forestières qui seraient ouverts au public, comme les cartes forestières. Cependant, en dehors de ces réunions préliminaires, aucune activité supplémentaire pour l'étape 1.3 n'a eu lieu.

Le Parlement kényan a ratifié l'Accord de Paris de 2015 le 28 décembre 2016 (étape 1.4). L'Accord de Paris exige des parties contractantes qu'elles soumettent des contributions déterminées au niveau national (CDN) à la réponse mondiale au changement climatique. Les parties à l'accord ont affirmé l'importance de la participation du public et de l'accès du public à l'information et à la coopération à tous les niveaux sur les questions traitées dans l'accord. Par exemple, les parties doivent rendre compte de leurs CDN d'une manière qui favorise la transparence, et les États parties doivent promouvoir la participation des secteurs public et privé à la mise en œuvre des CDN. Le CCA contient des dispositions détaillées sur la transparence et la participation civique.

Le Kenya a adopté un Plan d'action national sur le changement climatique (NCCAP) 2013-2017 dès 2013. Le plan d'action a reconnu la nécessité d'un «cadre politique, législatif et institutionnel solide et favorable». et a déclaré que le processus d'élaboration d'une politique sur le changement climatique et d'intégration du changement climatique dans Vision 2030 était «en cours». Il énonçait également le contenu envisagé de la politique sur le changement climatique et indiquait que cette politique serait un «précurseur nécessaire et critique» d'une nouvelle loi autonome sur le changement climatique. À mi-parcours, une politique spécifique sur le changement climatique n'avait pas été publiée ou approuvée par le Cabinet (étape 1.5). Cependant, puisque le CCA a depuis été promulgué, une hypothèse pourrait être que le cadre stratégique a été élaboré dans le cadre du processus de formulation de la loi, mais cela n'est pas confirmé.

Pour plus d'informations, veuillez consulter le rapport de progrès de l'IRM sur le Kenya 2016-2017.

Fin du mandat: Substantiel

L'engagement est resté pratiquement complet à la fin du mandat.

In République v Assemblée nationale et 2 autres ex-parte Green Belt Movement et cinq autres, Les OSC travaillant dans le domaine du changement climatique ont contesté les mérites du processus de nomination NCCC devant la Haute Cour du Kenya (étape 1.2). Dans un jugement rendu en septembre 2018, le tribunal a estimé que, bien que la procédure de nomination, d'approbation et de nomination des membres du NCCC ait été violée par le président et le Parlement, elle n'a trouvé aucune obligation constitutionnelle ou statutaire obligeant le Parlement kényan à accepter les candidatures proposées par les OSC.

L'étape 1.3 (publication des ensembles de données forestières) est restée incomplète. Hormis les réunions préliminaires entre le ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles et le Service des forêts du Kenya, aucune activité supplémentaire n'a eu lieu.

Alors que la politique sur le changement climatique (étape 1.5) date toujours de 2013, un deuxième plan d'action national sur le changement climatique avait été en grande partie formulé à la fin du mandat.

At-il ouvert le gouvernement?

Accès à l'information: marginal

Participation civique: marginale

Avant l'élaboration du plan d'action, la politique et la législation sur le changement climatique au Kenya ne disposaient pas de mécanismes suffisants pour garantir la transparence, la participation du public et la responsabilité comme l'exige l'Accord de Paris. Selon un répondant de la société civile au questionnaire des parties prenantes du chercheur de l'IRM, avant le plan d'action, les citoyens n'étaient pas impliqués dans la prise de décision stratégique sur les politiques climatiques, et les questions de changement climatique ont été laissées aux élites de Nairobi pour gérer, en raison de leur nature technique perçue.

Les jalons inclus dans cet engagement visaient à accroître la participation des citoyens à la politique environnementale et à rendre davantage d'informations disponibles aux citoyens. L'engagement a apporté une amélioration marginale à l'accès aux informations relatives au changement climatique. La ratification de l'Accord de Paris et la promulgation du CCA obligent le gouvernement kenyan à agir de manière ouverte et transparente sur les questions de changement climatique. Il existe des preuves d'un accès accru à l'information sur les questions de changement climatique pendant la période d'engagement. Par exemple, la CCD a établi un registre national sur les changements climatiques des mesures d'atténuation, d'adaptation et d'habilitation pour permettre aux acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux de mieux comprendre les actions en matière de changement climatique au Kenya. Cependant, les informations sur ce registre en ligne ne sont mises à jour qu'en mai 2017. À l'heure actuelle, il n'y a pas non plus d'informations en ligne sur le NCCC et son fonctionnement. Selon les représentants du gouvernement et de la société civile interrogés qui travaillent sur le changement climatique, le fait de ne pas ouvrir les ensembles de données forestières a également entravé la contribution de cet engagement à l'accès à l'information.

L'engagement n'a amélioré que marginalement la participation civique. Les dispositions du CCA sur la participation civique ont une portée potentiellement considérable. Ils prévoient non seulement une consultation publique, mais exigent que la contribution publique aux questions de changement climatique ait un impact sur la порог de la prise de décision. Le NCCC doit également publier des règlements traitant de l'efficacité de la consultation publique pour s'assurer que l'impact requis sur le «seuil de décision» est atteint. Le NCCC doit avoir des représentants de la société civile et tous les acteurs étatiques sont tenus d'assurer la participation et la consultation dans l'exercice de leurs fonctions. Cependant, la querelle juridique qui s'est ensuivie entre le gouvernement kenyan et les organisations de la société civile au sujet des candidats d'OSC au NCCC n'est pas de bon augure pour la participation civique initiée par le NCCC à l'avenir, en particulier lorsque les OSC se sont organisées entre elles pour assurer un processus de nomination transparent.

Reportés?

Cet engagement n'a pas été reporté dans le prochain plan d'action du Kenya.

Voir «La loi sur le changement climatique doit être mise en œuvre», Ministère de l'environnement et des forêts (Kenya), http://www.environment.go.ke/?p=3136, qui rend compte d'une «série de réunions» à organiser avec les parties prenantes sur l'opérationnalisation de la loi sur le changement climatique. La première réunion de ce type a eu lieu à Nakuru.
Le NCCC est établi par la section 5 de la CCA et sert de mécanisme national de coordination des changements climatiques. La CCD est établie par l'article 9 du CCA en tant qu'organisme chef de file des plans et des actions nationaux sur les changements climatiques pour assurer la coordination opérationnelle.
Ibid, CCA, section 7 (2) (g) et (h).
Idem, article 7 (4).
Les représentants sont Charles Mwangi du Green Belt Movement for Civil Society, conformément à la section 7 (2) (g) du CCA, et Cynthia Wechabe du Indigenous Information Network (IIN) pour les communautés marginalisées, conformément à la section 7 ( 2) h) de la CCA.
Voir «Republic v National Assembly & 2 others Ex-parte Green Belt Movement & five others», Haute Cour du Kenya à Nairobi, 13 février 2017, paragraphes 6 et 7, http://kenyalaw.org/caselaw/cases/view/159741/.
Les prétendues personnes nommées par le président au NCCC ont été publiées sous la cote 9227 de la Gazette du 3 octobre 2016, Gazette du Kenya, 7 novembre 2016.
Message du président (n ° 9 de 2016) «Sur la nomination des membres du Conseil national sur le changement climatique», 29 novembre 2016, http://www.parliament.go.ke/sites/default/files/2017-05/29.11.2016_2.pdf. La personne désignée pour représenter la société civile était M. John Kioli du Groupe de travail sur le changement climatique au Kenya, et la personne désignée pour représenter les communautés marginalisées était Mme Cynthia Wachebe.
Voir «Miscellaneous Application No. 11 of 2017», High Court of Kenya, 13 février 2017, http://kenyalaw.org/caselaw/cases/view/131918/.
Les organisations étaient respectivement le Mouvement de la ceinture de verdure, l'Alliance panafricaine pour la justice pour le changement climatique et Transparency International.
Ibid, «Requête diverse n ° 11 de 2017».
Message du Sénat (n ° 001 de 2017) «Décision du Sénat sur l'examen des candidats à la nomination au Conseil national sur le changement climatique», 28 février 2017, https://bit.ly/2s9gEF5. Les nominations approuvées par le Sénat pour les postes de la société civile étaient respectivement M. John Kioli et M. Patel Suresh.
État de la ratification de l'Accord de Paris, Collection des traités des Nations Unies, voir https://treaties.un.org/Pages/ViewDetails.aspx?src=TREATY&mtdsg_no=XXVII-7-d&chapter=27&clang=_en.
Voir le préambule; «Accord de Paris», Nations Unies, 12 décembre 2015, https://unfccc.int/sites/default/files/english_paris_agreement.pdf.
Idem, article 4 (3).
Idem, article 6 (8) (b).
En ce qui concerne la participation du public, les valeurs et principes directeurs du CCA exigent des acteurs étatiques qu'ils `` garantissent l'intégrité et la transparence '' et `` assurent la participation et la consultation des parties prenantes '' lorsqu'ils s'acquittent de leurs fonctions (section 4 (2) (e), (f)); entités publiques à chaque niveau de gouvernement must mener des consultations publiques lors de l'élaboration de lois, de stratégies et de politiques relatives aux changements climatiques (article 24 (1)); et les consultations publiques doivent être menées de manière à «garantir que la contribution publique a un impact sur le seuil de prise de décision» (article 24 (2)). Le NCCC a pour mandat de publier des règlements traitant de l'efficacité de la consultation publique afin de garantir que l'impact requis sur le «seuil de prise de décision est atteint» (article 24 (4)). Dans le cas de l'accès à l'information, la loi oblige le NCCC et la Direction à «publier et publier toutes les informations importantes relevant de leur mandat» (article 24 (4)); affirme le droit de «toute personne» de demander des informations au NCCC ou à la Direction, et expose les raisons pour lesquelles les demandes d'informations peuvent être refusées (article 24 (5), (6)). Sur une base annuelle, le NCCC est également tenu d'élaborer une `` stratégie d'engagement du public '', énonçant les mesures qu'il entend prendre pour informer le public sur les plans d'action sur le changement climatique et en encourageant le public à contribuer à la réalisation des objectifs de ces plans (article 31).
Voir «National Climate Change Action Plan 2013 - 2017», République du Kenya, Vision 2030, 27 mars 2013, https://cdkn.org/wp-content/uploads/2013/03/Kenya-National-Climate-Change-Action-Plan.pdf.
Idem, p. 95.
Idem, p. 96.
Idem, p. 98-99.
«Kenya Progress Report 2016-2018», Independent Reporting Mechanism, 6 juin 2018, p. 24-25, https://www.opengovpartnership.org/sites/default/files/Kenya_MidTerm-Report_2016-2018.pdf.
Ibid, «Republic v National Assembly & 2 others Ex-parte Green Belt Movement & five others.»
Idem, points 73 et 76.
«NCCAP 2018-2022», Kenya Climate Change Knowledge Portal, http://www.kcckp.go.ke/nccap-2018-2022/.
«Registre national des changements climatiques», Ministère de l'environnement et des ressources naturelles, gouvernement du Kenya, http://kenyaclimateregistry.info/usrlgn.aspx.
Pacifica, Direction du changement climatique, entretien avec un chercheur de l'IRM le 18 juin 2018.
Ibid, CCA, article 24 (2).
Idem, article 24 (4).

Engagements

Open Government Partnership