Aide étrangère et investissement étranger (MK0074)
Vue d'ensemble
D'un coup d'œil
Plan d'action: Macédoine, deuxième plan d'action, 2014-2016
Cycle du plan d'action : 2014
Statut:
Institutions
Institution chef de file : ministère des Finances, Secrétariat aux affaires européennes
Institution(s) d'appui : Agence pour les investissements étrangers
Domaines politiques
Aide, Espace civique, Liberté d'associationRevue IRM
Rapport IRM: Macédoine Rapport de fin de trimestre 2014-2016, Rapport d'avancement sur la Macédoine 2014-2015
Premiers résultats : n'ont pas changé
Conception i
Vérifiable : Non
Pertinent pour les valeurs OGP : Oui
Ambition (voir définition): Faible
Implémentation i
Description
Aide étrangère et investissement étranger
Résumé du statut de fin de session IRM
XIV. Transparence: aide étrangère
Engagement 5.3: Aide étrangère et investissement étranger
S’ENGAGERment Texte : 5.3. Aide étrangère et investissement étranger: a. Publication de documents sur les investissements étrangers dans le pays; b. Publication des données sur l'aide étrangère obtenue et prévue (aide bilatérale et fonds de l'UE).
Institution (s) responsable (s): Ministère des finances; Secrétariat aux affaires européennes (SEA)
Institution (s) de soutien: Agence pour les investissements étrangers
Date de début: 1/1/2014 Date de fin: 31/12/2016
Objectif de l'engagement
Cet engagement visait à accroître la transparence en publiant de manière proactive des données sur les investissements étrangers en Macédoine et l'aide reçue (fonds bilatéraux et européens).
Statut
Mi-parcours: pas commencé
Selon le rapport d’autoévaluation à mi-parcours ainsi que les informations communiquées par le Secrétariat aux affaires européennes (SEA), la base de données sur l’assistance des donateurs étrangers n’a pas progressé. La recherche d'Internet par le chercheur de l'IRM a révélé que les informations avaient été publiées pour la dernière fois en octobre 2014 et que les données de la base de données centrale d'aide aux donateurs (CDAD) n'étaient pas réutilisables.
Pour plus d'informations, consultez le rapport de mi-parcours IRM 2014-2016.
Fin de mandat: non commencé
Le gouvernement n'a pas signalé de progrès sur l'engagement. Dans son rapport d’autoévaluation, il a pris note des activités préparatoires et des réunions tenues entre l’Agence pour les investissements étrangers, la SEA et la société civile. Sa conclusion était que l'information n'avait pas été rendue publique car il n'y avait pas de consensus sur les données demandées. Les représentants de la société civile ont soumis leur liste de données préférées et ont demandé l'accès aux documents. Les documents publiés ne contenaient aucune information sur le niveau des subventions de l’État ou des incitations fiscales.[Note 122: Entretien avec Darko Antic, Association pour la solidarité et l'égalité des femmes.] De plus, le gouvernement a signalé deux obstacles à la publication de ces données. Premièrement, toutes les institutions publiques n’enregistrent pas leurs fonds en devises et leurs données sont donc incomplètes. Deuxièmement, certains contrats ne peuvent être libérés sans le consentement préalable de l'autre partie. Considérant qu'aucune divulgation proactive n'a été faite, le chercheur de l'IRM a conclu qu'il n'y avait aucun progrès.
At-il ouvert le gouvernement?
Accès à l'information: n'a pas changé
Responsabilité publique: n'a pas changé
Avant OGP, l'Agence pour les investissements étrangers ne fournissait pas de données sur les investissements étrangers dans le pays.[Note 123: http://www.investinmacedonia.com/.] Toutefois, le Secrétariat aux affaires européennes maintenait depuis une décennie une base de données centrale sur l’aide aux donateurs.[Note 124: http://cdad.sep.gov.mk/. ] Cet engagement visait à améliorer la diffusion proactive d'informations sur l'aide étrangère (aide des donateurs) et à permettre l'accès à des informations sur les investissements étrangers. En particulier, il visait à améliorer la transparence fiscale en publiant des informations sur les subventions publiques ou les incitations fiscales accordées aux investissements étrangers. Cependant, le manque de mise en œuvre a empêché la publication des données et, par conséquent, l'engagement n'a pas amélioré l'accès à l'information ni créé de possibilités de responsabilisation des fonctionnaires.